A NEOMA, les activités des étudiants et la vie de campus sont particulièrement foisonnantes. Retour sur les 3 moments qui ont marqué le mois de février. 

 1/ L’association Cheer Up de Reims organisait une journée sur la santé 

Le 4 février, c’était la Journée Mondiale de lutte contre le cancer. À cette occasion, l’association Cheer Up de Reims avait décidé de sensibiliser les étudiants mais aussi les professeurs et les collaborateurs. Au programme de cette journée : une conférence d’Antoine Demonceaux, médecin homéopathe et psychanalyste, et des ateliers axés sur la santé, le bien-être et la gestion des émotions. L’événement était ouvert à tous.

2/ Les étudiants du MSc Sustainability Transformations participaient à une fresque de la diversité  

Le 14 février, les étudiants du MSc Sustainability Transformations ont participé à une fresque de la diversité, organisée en partenariat avec Dassault Systems. Handicap, genre, origine ethnique ou sociale, conviction religieuse, orientation sexuelle… autant de discriminations mises sur la table ce jour-là.  « La fresque de la diversité est d’autant plus intéressante qu’elle apporte des solutions, rapportait Jeanne, étudiante. J’ai trouvé cela super de mettre des mots sur des problématiques que l’on perçoit mais dont on n’a pas trop conscience ».  

3/ L’association Envie D’Sup organisait une « simulation ONU »

Le 26 février, l’association Envie D’Sup organisait une « simulation ONU » à la mairie de Rouen. Elle avait réuni une trentaine de collégiens tutorés pour négocier deux résolutions sur le sport. La première concernait la « Création d’un fonds commun financé par tous les pays à la hauteur de 0.005% de leur PIB, pour soutenir la détection des jeunes sportifs dans les pays en sous-développement » ; la deuxième, « la création d’une institution sous l’égide de l’ONU pour surveiller la neutralité des évènements sportifs. » Des sujets plutôt pointus pour ces jeunes élèves ! Répartis en huit délégations, ils ont chacun défendu leur point de vue lors d’un discours. Ensuite, ils devaient négocier, puis voter -ou non – les résolutions. Chaque groupe était encadré par un intervenant de Diploma’see, pour l’expertise géopolitique, et un tuteur d’Envie D’Sup. L’atelier avait un triple objectif :  stimuler l’esprit critique et l’argumentation des tutorés, plonger les jeunes dans l’univers de la diplomatie et des relations internationales, renforcer leurs compétences en prise de parole et en négociation.