Comment se convertir après une carrière de sportif de haut niveau ? C’est la question que Tyler Ardron, rugbyman, s’est posée. Il explique son choix de formation à NEOMA Executive Education.

1/ Pourquoi j’ai choisi le programme Executive Business Director à NEOMA 

« Je suis Canadien, je joue au rugby à Castres Olympique et je prépare en même temps un master à NEOMA. Avant cela, j’ai joué pour l’équipe canadienne, j’ai beaucoup voyagé, au Pays de Galles, en Nouvelle-Zélande… En 2020, j’ai signé à Castres Olympique, dans le sud de la France, il me reste encore un an de contrat, jusqu’en juin 2026. J’ai toujours su que je devais préparer la suite. À NEOMA, je suis le master Executive Business Director. Les cours sont vraiment intéressants, les intervenants sont des professionnels qui connaissent bien le terrain, ce n’est pas de la théorie, c’est de la pratique, c’est très pertinent pour nous.

En termes d’horaires, c’est parfait pour nous : Les cours ont lieu le lundi et le mardi soir de 18h à 20h. À partir de mercredi, jeudi, vendredi, je peux me consacrer complètement au rugby, et le dimanche, à mes études. L’École a vraiment conçu un cursus qui nous permet de nous concentrer sur les choses les plus importantes au bon moment. »

2/ Ce que j’ai appris pendant cette formation  

« Avec l’Executive Business Director à NEOMA, nous faisons beaucoup d’études de cas. C’est ce que je recherche pour l’avenir : avoir des compétences applicables. Nous avons eu un cours sur la communication interculturelle. On ne communique pas de la même façon en Asie, en Amérique du Nord, en Europe. C’est quelque chose que l’on l’apprend un peu dans le rugby parce qu’on joue avec des équipes du monde entier, mais l’environnement est assez strict et compétitif. Dans le monde des affaires, c’est autre chose.

En cours, on a analysé en profondeur le fonctionnement des entreprises, ce qui les fait tourner, l’importance des chiffres, et comment passer d’un secteur à l’autre, où mettre le focus. En tant que joueurs de rugby, on est très bons dans l’action et la réaction, mais prendre le temps de réfléchir plus profondément à certains problèmes, ce n’est pas quelque chose qu’on fait dans notre métier. C’est agréable d’avoir des gens qui peuvent nous enseigner cela. »

3/ Quels sont mes projets professionnels ?

« Après le rugby, nous allons d’abord naviguer avec ma femme pendant une année. Ensuite, j’aimerais diriger une entreprise, même si je ne sais pas encore exactement à quoi cela ressemblera. Je mets tout en place. Avoir une entreprise qui nous permettrait de faire des allers-retours entre la France et le Canada, ce serait l’idéal. »