Communiqués de presse
Premier livre blanc co-édité par Audencia et NEOMA : « L’enseignement supérieur français : acteur mondial »
Publié le 16 juin 2019 par Lucie D.
Pour la première fois, Audencia et NEOMA s’associent pour publier un livre blanc sur la stratégie des business schools à l’international. Faculté et étudiants internationaux, accords d’échanges ou de doubles diplômes dans le monde entier, implantation de campus dans d’autres pays, accréditations, stages et emplois à l’étranger : l’ouvrage détaille les multiples facettes qui traduisent cette volonté de développement global.
Pour la première fois, Audencia et NEOMA s’associent pour publier un livre blanc sur la stratégie des business schools à l’international. Faculté et étudiants internationaux, accords d’échanges ou de doubles diplômes dans le monde entier, implantation de campus dans d’autres pays, accréditations, stages et emplois à l’étranger : l’ouvrage détaille les multiples facettes qui traduisent cette volonté de développement global.
« Nous évoluons dans un environnement plus que jamais globalisé, et les business schools n’échappent pas à cette règle, avec des approches de l’international qui diffèrent. NEOMA Business School et Audencia ont chacune fait le choix de défendre un parti-pris immersif à l’international, qui repose sur une logique de réseau académique avec de grandes institutions mondiales », souligne Delphine Manceau, Directrice générale de NEOMA Business School. « A travers ce livre blanc, nous donnons la parole aux étudiants français comme internationaux pour qu’ils partagent leur expérience en dehors de nos frontières, mais aussi aux acteurs académiques afin de dresser l’analyse de ce que signifie en 2019 l’international au sein de nos Business Schools françaises », poursuit Christophe Germain, Directeur général d’Audencia.
Le résultat de la collaboration tient en soixante pages, téléchargeables en accès libre. Des articles d’analyse alternent avec des témoignages de personnalités de l’enseignement supérieur et d’étudiants.
L’internationalisation commence sur les campus… de l’hexagone, 4e pays d’accueil dans le monde avec 245 000 étudiants étrangers, participant à faire des campus des environnements résolument cosmopolites. À cela s’ajoute le fort taux d’internationalisation des facultés, soutenue par des directions internationales et des associations étudiantes. Avec à la clé des salles de classe multiculturelles.
Le livre blanc « L’enseignement supérieur français : acteur mondial » poursuit son analyse du phénomène international avec la dimension la plus évidente : les universités partenaires. Très développés dès les années 60, les réseaux de partenaires académiques permettent d’organiser les semestres à l’étranger très souvent obligatoires. Les alliances peuvent aller jusqu’aux doubles-diplômes, et intègrent très souvent des collaborations en matière de recherche. Si certaines Ecoles affichent des réseaux académiques internationaux d’une centaine de membres, NEOMA et Audencia en comptent chacune plus de 300, choisis en se basant sur les accréditations ou leur classement national, et bien sûr la complémentarité des cursus. L’objectif ? N’envoyer que des petits groupes pour privilégier une immersion culturelle et locale complète, tout en maintenant des standards académiques similaires aux écoles d’origine.
Si la France est le 4e pays en matière de campus implantés à l’étranger (133 en 2016), les stratégies à l’œuvre au sein des grandes écoles diffèrent. Nombreuses sont les écoles ayant posé leurs valises hors de leurs frontières : 80 sur les 230 écoles membres de la Conférence des Grandes Ecoles. Implantation phare : l’Asie, suivie par l’Afrique, puis le Moyen Orient. L’Amérique reste encore à conquérir. Aux campus délocalisés et multisites en propre, Audencia et NEOMA ont préféré des joint-ventures, en Chine. « Ce modèle nous permet de nous associer à des acteurs de référence de l’enseignement supérieur, afin que les étudiants locaux que nous recrutons puissent bénéficier de leur environnement économique et social, tout en s’exposant à une expérience d’enseignement international », souligne Christophe Germain. « Un des bénéfices majeurs de ce modèle est également de délivrer un double-diplôme garantissant à l’étudiant une reconnaissance à la fois locale et internationale », ajoute Delphine Manceau.
Côté expérience professionnelle, l’internationalisation se décline également sous la forme de stages ou VIE (Volontariats Internationaux en Entreprise) à l’étranger. Très appréciés par les recruteurs, ils servent souvent de tremplins vers une ultime étape, un début de carrière à l’international. Cela concerne environ un tiers des diplômés d’Audencia et de NEOMA, un chiffre pouvant aller jusqu’à 75% pour certains cursus.
Le livre blanc consacre également une section à l’importance de la marque, et de l’appui sur la communauté de l’école pour la faire rayonner à l’international. La concurrence appelle un besoin de différenciation, et la marque se doit d’être lisible et compréhensible quelle que soit la culture.